Dans un effort de modernisation des infrastructures routières et de sécurisation des espaces publics, il a été décidé de l’interdiction de la circulation anarchique des véhicules à bras sur les grandes artères et les trottoirs des routes asphaltées. Une mesure qui vise à fluidifier le trafic, protéger les usagers et renforcer l’esthétique urbaine.
La décision d’interdire les pousses-pousses, charrettes et autres véhicules à bras sur les voies principales s’inscrit dans une politique résolue de modernisation des villes et de préservation de la sécurité publique. Si cette mesure bouleverse certaines habitudes ancrées, elle répond à des préoccupations concrètes en matière de circulation, d’hygiène et de protection des usagers vulnérables.
La Police républicaine a entamé le retrait progressif de ces engins dans les zones ciblées. L’objectif est clair : libérer les trottoirs longtemps encombrés, faciliter la mobilité des piétons et cyclistes, et améliorer la fluidité du trafic sur les axes stratégiques. Ces véhicules, souvent non réglementés et mal équipés, représentaient un risque accru d’accidents, particulièrement sur les routes à fort trafic.
Au-delà de la sécurité routière, l’interdiction vise également à limiter les nuisances liées à l’usage de ces charrettes pour le transport de marchandises ou de déchets, source fréquente d’insalubrité et de dégradation du cadre de vie urbain. Les autorités appellent la population à accompagner cette réforme. Selon la Police républicaine, il s’agit d’une initiative salutaire pour bâtir des villes plus propres, plus sûres et plus modernes. L’adhésion citoyenne demeure essentielle pour atteindre ces objectifs et garantir une cohabitation harmonieuse entre les différents usagers de la route.
Fifonsi Cyrience KOUGNANDE
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