Intestins: une étude alerte sur la prolifération du plastique

Par lanouvelletribune  -  9 octobre 2025 05:36

Image placeholder

Le plastique, plus présent en nous encore, que ce que l’on pouvait imaginer. En effet, les microplastiques, selon une récente étude, s’infiltreraient dans notre organisme et perturberaient notre santé. C’est bien simple, ils seraient présents absolument partout : eau, air, aliments…

Ingérés, ils entrent alors facilement dans l’organisme, en interagissant avec notre microbiome intestinal, modifiant son équilibre et son fonctionnement. Une découverte qui permet de mieux comprendre l’impact négatif de ce type de produit sur le corps même si ses effets à long terme ne sont pas encore totalement connus.

Un phénomène troublant, mais pas surprenant

Bien que troublant, difficile d’être vraiment surpris. En effet, le plastique est présent absolument partout. Des emballages alimentaires aux textiles synthétiques, en passant par les objets de consommation courante, il est tout simplement omniprésent. Impossible de ne pas entrer en contact avec lui à tel point qu’un individu lambda ingère des milliers de microplastiques à l’année.

Les particulières de microplastiques influencent ensuite les bactéries essentielles à notre digestion et à notre bien-être. Résultat, c’est l’estomac et les intestins qui en souffrent. Un problème, quand on sait que cet organe est considéré comme notre second cerveau et qu’il faut absolument en prendre soin.

Comment réduire sa dépendance au plastique ?

Pour réduire notre dépendance au plastique, des solutions existent. Des produits et équipements en bois ou en bambou peuvent aider. Le verre et la fibre végétale sont deux autres options intéressantes. Malheureusement, leur adoption nécessite d’être en mesure de répondre à certains défis, notamment en ce qui concerne les prix de production et de vente pour le consommateur final.

Il est toutefois impératif d’étudier ces options, notre organisme n’étant pas fait pour gérer et accepter ces intrus dont l’impact sur le dérèglement de notre organisme pourrait favoriser l’apparition de maladies potentiellement graves et impactantes d’autant que ces miroplastiques se transmettraient également au fœtus. C’est en tout cas ce qu’affirment plusieurs études, dont une réalisée en 2023, qui expliquant que ces particules pouvaient passer du sang de la mer, jusqu’au bébé au développement.

Articles similaires

  • → Cancer du sein : Ces 7 habitudes qui augmentent discrètement le risque
  • → Sport : de nouvelles révélations sur l'importance de la marche
  • → Pour vivre longtemps, voici à quel moment il faudrait manger
  • → Manger moins de viande : des scientifiques persistent et signent
  • → Vieillissement cérébral : les somnifères pointés du doigt par les chercheurs
Partager : 📘 Facebook ⚡ X 💬 WhatsApp ✈️ Telegram