Le Centre Sportif Soweto de Dedokpo-Akpakpa (Cotonou) a servi de cadre lundi, 29 mai 2023, au Clinic des Entraîneurs de Renaissance Basketball Club. Occasion pour plusieurs entraîneurs de se perfectionner à travers de nouvelles notions dans l’exercice de leur fonction.
S’inscrivant dans le cadre des programmes d’activités de Renaissance Basketball Club, ce clinic est le premier d’une série à venir. Il vise à offrir aux techniciens béninois l’opportunité de se perfectionner mais aussi à promouvoir l’excellence et l’amélioration continue dans le domaine du basket-ball. L’objectif est de fournir aux entraîneurs, les outils nécessaires pour développer les compétences de leurs joueurs et optimiser leurs performances sur le terrain. Un moment, riches en enseignements, d’échanges et surtout de partage de connaissances et d’expériences.
«Ce clinic pour les entraîneurs de Basketball organisé par la Renaissance BBC a abordé la phase des apprentissages des habiletés motrices et sportives. Donc, comment est-ce que les coachs peuvent entraîner, faire aguerrir des compétences, des connaissances aux enfants en respectant les différentes étapes», a expliqué l’experte Fiba, Dr Brigitte Tonon. «Après l’exposé, les coachs ont posé des questions, mais j’ai senti qu’ils étaient un peu réticents. Ils ne partagent pas leurs expériences. Mais, c’est à force de parler, de partager les expériences, d’échanger sur les difficultés qu’ils pourront s’améliorer», suggère-t-elle. «Ce qui est sûr, ils ont reçu les bases. Ils ont reçu des informations vraiment importantes qui leur permettront d’améliorer leur pratique quotidienne. Je suis contente. Je m’en sors ragaillardie et satisfaite», avoue-t-elle.
Quant aux participants, ils ont apprécié le clinic. C’est le cas du coach Aurelius Koukpo qui trouve le clinic très intéressant. «Bien entendu, on est diplômé gradé de FIBA, mais il y a des choses qu’on connaissait dont on ne savait pas l’importance», dit-il avant de proposer que cela soit pérenne. «C’est toujours bon d’assister à ce genre de clinic parce qu’on apprend toujours quelque chose, quel que soit le niveau où on est. Ces genres d’initiatives manquent dans notre pays», dira Christian Quenum, coach de Renaissance Bbc.
A.F.S.
