Vieillissement: comment l'activité physique aide à son ralentissement

Par lanouvelletribune  -  15 avril 2024 15:00

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Le temps qui passe, voilà qui fait peur à bon nombre d’entre nous ! En effet, prendre de l’âge suppose certains changements au niveau de notre métabolisme. Difficulté à se mouvoir, fatigue, maladie… Malheureusement, il n’existe pas (encore) de solution miracle. En revanche, certains leviers à activer permettent de réduire l’impact du poids des années.

Le premier levier à activer, c’est celui de la nourriture. Bien manger est l’une des clés pour être en bonne santé. À cela s’ajoute le fait de ne pas boire d’alcool ou encore de ne pas fumer ainsi que celui de bien dormir. Entre 7 et 9 heures de sommeil aident le corps à bien récupérer. Dernier point, et non des moindres : la pratique d’une activité physique régulière ! Une nouvelle étude est venue le confirmer.

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Le sport, pour moins vieillir ?

En effet, des chercheurs ont étudié 15 souris mâles sur une période de quatre mois. Ces dernières avaient accès à une roue leur permettant de faire de l’exercice. Trois groupes de cinq ont ensuite été réalisés, avec un niveau d’exercice faible, modéré et élevé. L’idée était ensuite d’étudier les tissus aortiques des souris, qui ont été exposés à différents flux sanguins, selon l’exercice en question.

Et les premiers résultats laissent entendre que la pratique du sport permettrait de réduire les risques de lésions sur l’ADN. Selon la science, c’est l’exercice d’aérobie qui aurait eu le plus d’impact (ce qui signifie un effort à hauteur de 60 à 75% environ de la fréquence cardiaque maximale, une zone estimée accessible pour tout le monde). Ce type d’exercice aurait permis d’améliorer la circulation sanguine.

Quelle suite donner à cette étude ?

Concrètement, cela veut dire qu’il sera probablement possible, à terme, via une approche qui se veut détaillée et personnalisée selon les individus, de travailler à renforcer la santé cardiovasculaire. L’objectif final est de limiter les risques au niveau de la circulation sanguine et de l’aorte pour les personnes les plus à risques. De plus amples recherches doivent toutefois être menées, mais les bases sont jugées comme étant relativement solides par la communauté médicale.

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